Violences gynécologiques : "Il faut aussi que l'hôpital change"

Caroline Raquin, sage-femme, il est urgent de lutter contre les violences gynécologiques et obstétricales dont les conséquences psychologiques et physiques peuvent se révéler très graves pour les victimes.

La rédaction d'Allo Docteurs
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Rédigé le , mis à jour le

Pour Caroline Raquin, sage femme et vice-présidente de l'ONSSF, il est primordial que les professionnels de santé changent leurs méthodes de travail. Ainsi, un toucher vaginal ne doit être réalisé uniquement s'il est médicalement justifié. Si un patiente refuse un examen gynécologique, le médecin ou la sage-femme doit avant tout l'écouter et chercher avec elle une autre solution. Enfin, Caroline Raquin dénonce les dérives de l'hôpital et le manque de temps accordé au personnel médical lors de leurs consultations.