Infertilité féminine : un suivi psychologique ?

Serait-il possible d'améliorer le suivi psychologique des patientes, en formant les gynécologues sur la souffrance causée par l'infertilité ?

La rédaction d'Allo Docteurs
La rédaction d'Allo Docteurs
Rédigé le , mis à jour le

Les réponses avec le Dr Juliette Guibert, gynécologue-obstétricienne, médecin de la reproduction à l'institut mutualiste Montsouris :

"Je pense que la plupart des gynécologues qui s'intéressent à l'infertilité et aux traitements s'intéressent aussi au suivi psychologique, mais je pense que ce n'est peut-être pas forcément ça qui est nécessaire, mais le fait qu'il y ait une équipe avec des ressources possibles auprès d'une équipe psychologique est très important. Cela permet aussi aux couples d'avoir quelqu'un d'autre que le gynécologue qui suit le traitement. Il faut une autre personne à qui se confier et dire des choses qui viennent au fur et à mesure de ces traitements. La psychologie est pour chercher les causes mais aussi pour soutenir pendant les traitements et leurs difficultés."

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Questions/réponses :

    • Une stimulation ovarienne chez une femme de 35 ans lui permet-elle d'avoir la même fertilité qu'une femme de 20-25 ans ?
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* Les réponses avec le Dr Juliette Guibert, gynécologue-obstétricienne, médecin de la reproduction à l'institut mutualiste Montsouris